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 Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien !

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2 participants
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Lunius




Messages : 51
Date d'inscription : 19/11/2008
Age : 33
Localisation : Ardennes 08

Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien ! Empty
MessageSujet: Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien !   Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien ! Icon_minitimeMer 26 Nov - 17:34

Tout commença, il y a maintenant plus de quatre ans. Une nouvelle prof venait d’arrivé il y a quelques mois au club, et c’était pendant des vacances de deux semaines. J’étais la seule qui faisait le stage Galop 4. Je suis arrivé le premier matin, pleine de traque. J’ai était directement dans la sellerie, là ou se trouver la fiche. J’ai regardé qui je monter, et la surprise, c’était un nom que je ne connaissait pas du tout ! Birkin du Lac. Ma prof’ arrivé derrière mois un grand sourire aux lèvres en voyant ma tête. Elle me conduit jusqu’aux box, de celle qui n’était autre que sa première jument. Je regard à travers les barreaux du box ! Elle était immense !!! Et en plus, à l’époque j’était encore petite (étant donné que ma prof’ me dépassé encore à cette époque, sa n’est pas long rester d’ailleurs…) et j’avais l’impression que la jument avait le garrot dans la lampe qui se trouver accrocher au plafond, qui était déjà asser haut. Ma prof me laisse alors avec la bête. J’entre dans le box, la jument me regard. J’inspire un grand coup, et m’avance doucement vers elle. Elle baisse la tête pour que je puisse accrocher le licol, je la sort et l’attache devant son box. Elle me parais encore plus grand, je me demande même comment vais-je pouvoir la seller ! Je commence à la brosser tranquillement, tout en respirant profondément face a cette merveille de la nature. L’heure approche, malgré moi, je sent le trac au fond, non loin. Puis l’heure de vérité ! Je met ma bombe sur ma tête, je prêt Birkin par les rênes, et je marche seule vers la manége, ou m’attend déjà ma prof’. Je prend un montoir, car même en mettant l’étrivière au dernier trou, je ne peut pas mettre le pied à l‘étrier, mais ma prof’ l’avait déjà prévu ! Une fois sur son dos, j’oublie tout, le trac redescend tout à coup. Je marche au pas, viens l’échauffement, puis une séance de dressage (là ou selon et comme je le découvrirais a force de la monter elle est le mieux). Et bizarrement, mais dés cette instant, je sentit qu’elle est moi allons avoir un avenir, un nous, pour la première fois de ma vie. Et sa na pas loupé. Sur elle j’ai appris le plus important, c’est sur elle que j’ai réussit mon premier trot assis parfait, c’est sur elle que mes jambes sont devenu plus fixes, c’est elle qui ma donner le goût à l’obstacle (que j’ai perdu, en la perdant également), et surtout, le plus important de tous, c’est avec elle que je me suis sentit pousser des ailes, dés l’instant ou j’était avec elle, j’oublis tout, j’était de nouveau moi, et ce sont des souvenirs pleins la tête, des larmes versé au creux de son encolure, des secrets dit a personne d’autre qu’elle. Elle était mon amie ! L’amour dont j’avais besoin que l’on ne me donner, elle me le donner, et l’amour dont elle avait besoin qu’elle n’avait pas, je lui donner. Elle et moi, était devenu un nous. La complicité ente elle est moi était tellement forte, que tout le monde se demander si elle n’était pas à moi depuis plusieurs années déjà, moi même, je sentait qu’elle était à moi, peu être pas sur les papiers, mais tout le reste était à moi. J’ai découvert plus tard que ma prof’ avait fait exprès de me la faire monté, parue elle savait, elle se doutait de se qui aller se passer ! Bien que Birkin avait déjà 16 ans à l’époque, j’était à deux doigts de l’acheter. Puis, en discutant avec ma prof’, j’ai pu constater qu’elle l’aimer, mais qu’elle avait juste était sa première jument de concours, et que sa s’arrêter là. Personne n’aimer cette jument parue ils en avaient tous peur, il ni avait plus que moi, qui la monter, et s’en occupé. Avec c’était des « Ma grosse » au bout du couloir, une tête qui sortait, se tourner vers moi, et un hennissement qui suivait toujours, c‘était des heures passées à la panser, a la faire brouter, à la câlinait, a lui donner des betteraves ses gourmandises préférées, à rester assise contre elle qui était couché, ses naseaux velouté dans le cou, son souffle chaud qui me rassurer tellement, son chanfrein toujours sale car elle se m‘était toujours de la betterave partout mais malheureusement, c‘est une selle que j‘avais acheter pour elle, que je n‘est jamais pu lui essayer... Cette année passé à coté d’elle, fut la plus belle année de ma vie, encore aujourd’hui d’ailleurs…Un samedi après-midi, en arrivant au club, j’appelle ma grosse, mais pas de réponse, je court vers son box, depuis presque un an c’était celui tout au bout de l’allée. Le box est occupé, mais pas par Birkin, mon cœur s’emballe. Je fait toute l’écurie pour la trouvé, rien…Je vais voir au pré…encore rien ! Je suis très inquiète, mon cœur bat à toute allure !! Je revient au écurie, je tombe sur ma roof’ ! Elle me prend à part, et ma dit que Birkin est partit en retraite prématuré, ses problèmes de tendons sont revenu, et l’autre prof’ là trop fait travaillé, elle ne doit presque plus être montée ! Une seule chose reste dans ma tête ! Elle est loin de moi !!! Je recule, et je par en courant, je n’ai jamais couru aussi vite. Ma mère me croise, elle se demande quoi, je remonte dans la voiture, elle me suis, je suis en larme, complètement anéantit ! Se jours là, et pendant plusieurs semaines, je ne suis pas retourner au club, je n’avait plus aucune motivation, j’avait perdu ma jument, enfin celle que je considérer comme si. Encore aujourd’hui je la pleure, même en écrivant se texte, je pleure…elle me manque tellement…Quand elle est partis, c’est une partis de moi-même qui est partis, je ne suis plus moi-même depuis bien longtemps maintenant…Cela fait maintenant deux ans qu’elle est loin de moi. Je pense très souvent à elle, et j’ai d’ailleurs encore des contact avec mon ancienne prof’ enfin surtout sa sœur. Birkin qui était une jument plutôt « froide » avant, et devenu, depuis notre rencontre une jument très câline et affectueuse. Elle qui ne chercher jamais le contact de l’homme, est devenu un vrai pot de colle. Alors dans un sens je me réjouis, car cette rencontre aurait ne pu jamais se faire, et je remercie le ciel de m’avoir fait connaître un telle bonheur au moins une fois dans ma vie. Et pour les curieuses, Birkin faisait presque 1m80 au garrot ^^

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Et hop sans longe ^^

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Oui elle avait l'oeil gauche borgne.

Ensuite est venu Norus, plus un cheval de compensation qu’autre chose. Un petit arabe gris pommelé. Jeune, mais qui avait un cœur énorme ! Il savait qu’il faisait mal, mais faisait toujours son possible, jusqu’à parfois dépasser ses limites pour satisfaire son cavalier. Bien sur passé du grande Selle Française d’un mètre quatre-vingt au garrot à un petit arabe d’un mètre quarante-huit, je peux vous dire que sa vous fait tout drôle ! Avec lui, je n’est pas beaucoup évoluer, c’était juste…comme sa, il avait juste un caractère attachant.

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Puis j’ai arrêtais l’équitation pendant un an. Et je suis passer par un club avant celui ou je suis actuellement, mais se fut une mauvaise période, alors on va passer dessus.

Aujourd’hui se sont Mariska et Kabyle qui comble mon cœur. Au début, j’étais pas trop chaude à l’idée de m’attacher de nouveau à un cheval, l’expérience avec Birkin avait était trop douloureuse. Mais celle à qui je tien le plus et qui à était la première a faire fondre mon cœur, reste Mariska. Elle est comme Birkin, elle ne cherche pas le contact de l’homme, très gentille certes, mais que vu comme sa, on pourrais dire qu’elle se laisse manier et monter à contre cœur. Et c’est justement se qui à fait que j’ai voulu aller voir plus loin. Il est vrai que je ne la connaît pas encore beaucoup, mais je sent déjà que quelques choses se tisse. C’est ma jument de dressage on va dire, qu’est-ce qu’elle est attentive à tout se que je lui demande, et bien qu’elle soit difficile à main gauche, elle essaye pour ne pas me décevoir.


Kabyle, lui, sa à était bien plus compliqué que cela. Il faut dire que les débuts avec lui, ont étaient vraiment difficiles ! Je ne l’aimer pas du tout, il faut dire, la première fois que je l’ai monté, c’était en dressage, et croyait moi, c’est pas son point fort, très loin de là…Puis en saut, mais c’était pas mis, grand mais petite encolure et petite foulée, il place souvent une dernière foulée très désagréable qui rend la saut difficile à suivre, il n’avance pas même avec des jambes, bref un vrai calvaire. Mais un soir, l’ors d’un petit concours inter club, c’est la révélation. D’abord je redoute le moment de passer. Mais une fois sur son do, je n’est plus d’autre choix que d’y aller. J’ai fait deux parcours avec lui, une 50 cm et une 80 cm. J’atteint facile les 1m10 en cour…Et là, parcours nickel, il à était un vrai crème, aucune foulée de trop, il avancé et accéléré ou ralentissait vraiment quand moi je lui demander. Je doit dire que ses deux parcours là on était vraiment magique, d’ailleurs mon prof ‘ actuelle me là dit, si seulement je pouvait faire pareil lors des cours, il me sortirait en officiel direct !! Bref, il est mon cheval d’obstacle ^^
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MessageSujet: Re: Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien !   Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien ! Icon_minitimeDim 21 Déc - 22:36

Ha tu avais une belle histoire avec Birkin....Mais elel a de la chance aussi d'etre en retraite ^^ (que j'aimerais deja etre en retrate moi....XD)

Elle avait des problème de tendon, comme Julie la petite juju que je montais a la ferme equestre près de chez moi, elle boitait souvent et donc souvent en repos. Et caractère pareil, et surtout pas facile a "tenir" car elle avait du gaz, j'étais presque la seule a la monter XD

Enfin bon, tu a très bien fait ton histoire j'adore et on sens vraiment ton amour pour Birkin qui a été le plus grand de tous (un grand amour pour un grand cheval XD)
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Lunius




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MessageSujet: Re: Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien !   Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien ! Icon_minitimeLun 29 Déc - 5:48

Merci, et oui, c'est elle qui comble mon coeur depuis 5 ans maintenant, et bonne nouvelle, sa proprio, mon ancienne monitrice, la remené prés de chez moi !! Elle ma dit que la prochaine fois qu'elle descend les voir, elle vien me chercher pour que je puisse la voir !!!!
Je suis trop contente, et j'ai vraiment hâte !!!!!
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MessageSujet: Re: Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien !   Au fond, ils sont bien plus que nous...nous sans eux, nous ne sommes plus rien ! Icon_minitime

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